mercredi 2 juillet 2008

ISTANBOUL EN ATTENDANT LILOU 24 et 25/06






J'en rajoute un peu : j'ai arrêté le 24 au Grand Bazar mais après, nous avons tout de même :- flané en ville et admiré un étalage de chaussures aux couleurs chatoyantes, aux talons super-aiguilles qui nous ont évoqué (sauf votre respect) des pompes de putes!- et même admiré une machine posée auprès de l'étalage dont la fonction semblait consister à écarteler deux malheureux escarpins bleus ciel ; la machine à élargir les pompes de putes?- bu un thé dans un estaminet où officiait comme partout dans Istanboul une dame dodue, sans jambe, installée à une table basse, rouleau à patisserie en main, aplatissant des ronds de pâte pour en faire des pitas ; une pitayola? ont proposé les copains- dîné en ville et pris un hammam dans un bain turc historique à Cemberlitas.


Ceertaines photos ne sont pas passées, et je les renvoie :Michel en mamouchi puis en notable turc est incontournable. Au hammam, vous n'aurez droit qu'à la photo finale où Michel et moi sommes affublés de serviettes, et où je joue les pharaons.


Le 25, Bernard nous quitte tôt pour se choisir un hotel, finalement à Yenikapi. Il restera encore un mois à Istanboul et nous le reverrons tout au long de notre séjour. Il nous a guidé de main de maitre, sans montre et sans boussole dans les dédales de la ville, et je me demande si il ne va pas entamer une nouvelle carrière de guide francophone dans cette ville ; en tout cas il en aurait les capacités.


Michel prend l'avion à 15 heures. Mais il passera toute la matinée à s'occuper du moteur HB. Le TOHATSU finalement démarre au quart de tour ; il était noyé par les essais précédents, et le carburateur neuf devait avoir eu son pointeau coincé par une une ébarbure. Merci Michel de m'avoir enleve cette épine du pied.


Demain, c'est l'arrivee de ma Lilou. Je fais faire une grande lessive des draps de lit et des taies d'oreiller. Un petit coup d'aspirateur et un grand coup d'eponge.

Aucun commentaire: