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Le soir nous descendons au pont de Galata et retrouvons Bernard pour un dernier repas (aucun de nous n'en fera une cène) dans un bouiboui à côté du marché au poisson. Ici, il est frais, et délicieux ; la clientèle est purement locale et l'installation sommaire ; mais pour 7 YTL (à peine 4€) c'est vraiment donné. La lune enfin réapparue nous fait un clin d'oeil en ajoutant son croissant entre les deux minarets déjà encroissantés de la Yeni Cami d'Eminönü.
Le 13, après une première nuit sur le bateau, nous complétons l'avitaillement ; Evelyne nous prépare du poulet (acheté roti) avec ds pommes de terre mitonnées et un salade délicieuse. Francis qui a très bien dormi remet l'annexe à l'eau et fait même le pitre avec les pinces à linge (Ya pas que toi Nath!). Les réservoirs d'eau et de fuel sont pleins ; le moteur diesel essayé ; une fenêtre de vent calme de 2 jours est en train de s'ouvrir. Ca s'annonce bien.
Dans la matinée, j'arrive à envoyer tous les blogs par l'ordinateur de la marina. J'en profite pour les informer du départ le lendemain matin, et le petit jeune homme décoratif retrouve son efficacité pour me présenter une note d'eau et électricité (elle est heureusement modeste, mais avec des tarifs de 60€ par jour, en principe ce type de prestation est inclus). Quand la note est tirée de l'ordinateur du freluquet, il faut encore passer par le trésorier pour la régler. Mais si j'avais oublié, je suis certain que les dinghys de la marina nous auraient poursuivi en mer de Marmara pour nous porter une sommation d'huissier! Même à 5h30, heure prévue pour le départ.
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