Le 9, repos le matin. J'en profite pour passer plusieurs blogs en retard. J'ai trouvé la méthode: - utiliser l'ordinateur mis à la disposition par la marina car le wifi ne supporte absolument pas la diffusion de dossiers lourds - transmettre le matin quand les lignes locales ne sont pas encore surchargées - rédiger sur le bateau et constituer par avance les dossiers photos ; ainsi je compose en AZERTY, tout de même plus reposant.
Le soir, nous nous retrouvons au café Pierre Loti avec Bernard, Francis et Eveline ; rare d'avoir à la même table l'équipe présente (Lilou, mousaillonne de port), l'ancienne (Bernard, baroudeur stambouliote), et la nouvelle (Francis et Eve). La photo n'est pas terrible! Je préfère celles où Eve et Francis rèvent tandis que Bernard et Lilou discutent sur le ferry qui nous ramène dans la Corne d'Or.
Nous restons à bord jusqu'à Kadikoy où Bernard nous emmène dans un restaurant kurde. Il est situé dans la rue où se situent tous les étalages de légumes si pittoresques dans la journée. La formule est curieuse : on choisit ses hors d'oeuvre en self-service, puis l'assiette est pesée et le prix dépend du poids. J'ai bien l'impression que c'est le poids total qui compte, et l'assiette pèse lourd; vous avez dit bizarre? En tout cas, c'est délicieux, le ragout et les sucreries aussi. Francis sucrophage extrême, se régale.
Pour le retour, la mauvaise surprise, c'est qu'il n'y a plus de navette directe pour Bakirkoy ; nous reviendrons "en Europe" par le ferry de Karakoy. De là, tramway vers la gare, mais il s'arrête bien vite (travaux sur la voie) et nous continuons à pied en laissant les copains pour ne pas rater le train de minuit ; le dernier, ensuite, il faut rentrer en citrouille!
Drôle de voir les souterrains grouillants de marchands et de passants le jour, aussi déserts à minuit, et pas encore débarrassés des ordures créées par tout ce trafic.
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