dimanche 14 juin 2009

A Milos Du 06 au 08/06











Le 7 juin, je me suis surtout employé à rattraper en partie le retard du blog et à adresser textes et photos à blogger.com. La liaison est ADSL, mais très lente au café internet qu'Alix m'a repérée près du bateau ; autant dire que j'y passe trois heures, rien que pour ces envois.





Alix, elle, a entrepris de rechercher d'où fuit encore le dinghy : elle repère un quatrième trou, bien en ligne avec les autres et lui met une pièce ; résultat dans deux jours (Photo N°1). Il faut laisser 72 heures avant d'utiliser. Vif regret pour les rustines de mon enfance qui nous permettait une réparationb et une utilisation immédiate quand nous crevions les pneus de nos bicyclettes. Il est vrai que là, il s'agit de PVC et non de caoutchouc, mais quand même, ce n'est pas très réaliste!





Dans la matinée, je vois par le hublot de Ticotte un bateau bleu foncé (Photo N°2) que je crois connaître négocier son arrivée à quai en marche arrière, à quelques distances du notre. Je ne tilte pas ; d'ailleurs, il y a du monde pour aider et je ne me manifeste pas. Ce n'est qu'un plus tard que je suis hèlé par une voix familière : Bernard et Michèle (Photos 3 et 4), les amis de Jean Yves que nous avions déjà rencontrés l'année dernière à Symi au mouillage de Panormitis (île de Symi), et avec lesquels Lilou et moi avions sympathisé pendant le carénage à Marmaris. C'était pourtant à prévoir que nous allions nous rencontré puisqu'ils effectuent aussi le trajet Marmaris-France. Nous envisageons de louer une voiture l'après-midi pour visiter les curiosités de l'île, mais finalement j'ai trop à faire avec le blog, et curieusement, à Milos, nous ne serons guère tentés d'explorer les curiosités locales.





Le port est bien aménagé mais le branchement à l'eau coûte 8€ par jour, et l'électricité 5€ ; heureusement j'ai pu en faire profiter nos voisins d'amarrage, les français de l'Oceanis 393 déjà rencontrés à Folegrandos. Il est vrai que personne ne nous demande les taxes de port.
Il y a de nombreux touristes, surtout grecs ; les prix nous ont paru plus élevés qu'ailleurs. Bien que volcanique, Milos est moins pittoresque que Santorin ; les carrières de fer abandonnées offrent des roches colorées par les oxydes qui rappelleraient celles du Colorado...en petit. Nous ne sommes même pas montés à la chora de Milo qui d'après le guide des îles grecques n'a guère d'intérêt.





Nous avons partagé l'apéritif avec Bernard et Michèle sur Ticotte qu'ils n'avaient pas encore visitée, et le lendemain 8 juin sur leur Arpège. Si nos calculs sont exacts, nous devrions nous retrouver à nouveau au mouillage de Vlikho, dans l'île de Levkas (Leucade en français). Je serai alors avec Michel D et sa fille Zoe.








L'apéritif se prolonge agréablement en discussions de début d'après-midi ; il est 15 heures alors que l'embarquement...pour Cythère était prévu à 14. Ce n'est qu'un au revoir, les amis.

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